Changement de Copi pour ce vol, c'est avec Jean-Marc que nous partons vers les montagnes. "Jeune" BB (Brevet de Base) en préparation du PPL, il faut qu'il travaille un peu sa radio. Il assurera donc les relations avec le contrôle aérien et pour bien le faire travailler, nous contacterons même le SIV de Lyon.
Notre route nous fait passer à la verticale de St Exupery, puis route au Sud-Est pour passer verticale de l'aérodrome de la Tour du Pin, verticale du VOR LTP, et enfin, entrée par la vallée de Grenoble pour remontée celle nous conduisant au Versoud.
Donc la première branche nous fait survoler les pistes de St Exupéry et ses petits avions radio commandés:
Et là, le tout petit CRJ qui se pose sur la 18R:
Nous passons à la verticale du terrain de la Tour du Pin où une zone vélivole est active. Et il y en a de partout de ces belles machines bien effilées que l'on perd vite de vue suivant l'angle où elles se présentent à nous. Par sécurité, je mets mes phares en service pour passer cette zone. Nous poursuivons notre route sur le VOR.
Les nuages que nous voyons au loin ne gâchent en rien la magnifique vue du lac de Paladru sous notre aile gauche.
Les nuages que nous voyons au loin ne gâchent en rien la magnifique vue du lac de Paladru sous notre aile gauche.
Il faut également faire attention car c'est un des points de sortie de l'aérodrome de Grenoble Isère. Nous sommes en contact avec le SIV, mais quand même. La règle du vol à vue reste quand même "voir et être vu".
Nous passons à la verticale de Voiron et découvrons Grenoble bien enclavé dans sa vallée. La visibilité horizontale n'est pas top. Le survol de Grenoble est interdit en dessous de 4 000ft (1 200m). Nous nous présentons donc à 4 500ft (1 400m).
La vue de cette vallée en "Y" est magnifique. Nous passons au-dessus de l'hôpital de La Tronche, le grand centre hospitalier de Grenoble.
Virage à 90° sur la gauche pour rejoindre notre destination.
Nous sommes bordés par les montagnes d'où, sur celles à notre gauche, de nombreux parapentistes se jettent dans le vide. Là aussi, attention danger!
Jean-Marc prends l'ATIS pour connaître les paramètres d'arrivée, puis contacte la tour pour signaler notre arrivée.
Comme il nous est demandé de nous reporter en vent arrière pour la piste 04, nous allons pouvoir descendre au taux standard. Il nous faut perdre 3 100ft (1 000m), soit 6 minutes de descente. Nous remontons donc la vallée tout en laissant descendre tranquillement notre avion.
Nous aurions été autorisés à une semi-directe, le taux de descente aurait été beaucoup plus important, et là, bonjour les oreilles.
La descente nous conduit à nous reporter en vent arrière et nous sommes autorisés à nous poser en 04 en dur, en étant n°1. Il y a en fait deux pistes : 1 en herbe et 1 en dur. Celle en herbe sert pour les planeurs.
Direction le parking, situé pile en face du Bar. C'est sympa pour les personnes qui viennent à l'aérodrome pour voir des avions: ils sont exposés devant leurs yeux, seulement à quelques mètres.
1ère mission, trouver l'agent de la CCI pour payer la taxe d'atterrissage. Nous nous rendons à son bureau. IL n'y a personne. Nous trouvons un interphone, mais personne ne répond. Il y a un petit panneau indiquant qu'en cas d'absence, il faut se rendre à la station service, ce que nous faisons.
Arrivés à la station: personne! Là aussi: un interphone auquel personne ne répond, et un petit panneau indiquant: "qu'en cas d'absence, se rendre au bureau"!!! Ils sont fous ces romains!
Nous allons nous placer dans un endroit stratégique: le bar. Il se trouve entre les 2 points où l'on est sensé trouver l'agent de la CCI. Il devrait donc passer devant nous, dans un sens ou dans l'autre. Et bien, non! il n'est jamais passé. Avant de repartir, nous refaisons le trajet... au cas où.
Le retour se fait dans les mêmes conditions qu'à l'aller. Jean-Marc travaille sa radio et moi mes caps. C'est relativement simple car je me suis installé tranquillement sur la radiale du VOR de la Tour du Pin. Trop facile, même pas besoin du GPS.
A notre arrivée, plein de carburant et passage des consignes aux deux pilotes suivants, les amis Jean-Christian et Jean-Yves, qui eux ont la chance de faire leur vol en charmante compagnie: l'épouse de Jean-Yves.
Même au hub de St Exupéry, les avions d'Air France n'ont pas la même cadence!
Virage à 90° sur la gauche pour rejoindre notre destination.
Nous sommes bordés par les montagnes d'où, sur celles à notre gauche, de nombreux parapentistes se jettent dans le vide. Là aussi, attention danger!
Jean-Marc prends l'ATIS pour connaître les paramètres d'arrivée, puis contacte la tour pour signaler notre arrivée.
Comme il nous est demandé de nous reporter en vent arrière pour la piste 04, nous allons pouvoir descendre au taux standard. Il nous faut perdre 3 100ft (1 000m), soit 6 minutes de descente. Nous remontons donc la vallée tout en laissant descendre tranquillement notre avion.
Nous aurions été autorisés à une semi-directe, le taux de descente aurait été beaucoup plus important, et là, bonjour les oreilles.
La descente nous conduit à nous reporter en vent arrière et nous sommes autorisés à nous poser en 04 en dur, en étant n°1. Il y a en fait deux pistes : 1 en herbe et 1 en dur. Celle en herbe sert pour les planeurs.
Direction le parking, situé pile en face du Bar. C'est sympa pour les personnes qui viennent à l'aérodrome pour voir des avions: ils sont exposés devant leurs yeux, seulement à quelques mètres.
1ère mission, trouver l'agent de la CCI pour payer la taxe d'atterrissage. Nous nous rendons à son bureau. IL n'y a personne. Nous trouvons un interphone, mais personne ne répond. Il y a un petit panneau indiquant qu'en cas d'absence, il faut se rendre à la station service, ce que nous faisons.
Arrivés à la station: personne! Là aussi: un interphone auquel personne ne répond, et un petit panneau indiquant: "qu'en cas d'absence, se rendre au bureau"!!! Ils sont fous ces romains!
Nous allons nous placer dans un endroit stratégique: le bar. Il se trouve entre les 2 points où l'on est sensé trouver l'agent de la CCI. Il devrait donc passer devant nous, dans un sens ou dans l'autre. Et bien, non! il n'est jamais passé. Avant de repartir, nous refaisons le trajet... au cas où.
Le retour se fait dans les mêmes conditions qu'à l'aller. Jean-Marc travaille sa radio et moi mes caps. C'est relativement simple car je me suis installé tranquillement sur la radiale du VOR de la Tour du Pin. Trop facile, même pas besoin du GPS.
A notre arrivée, plein de carburant et passage des consignes aux deux pilotes suivants, les amis Jean-Christian et Jean-Yves, qui eux ont la chance de faire leur vol en charmante compagnie: l'épouse de Jean-Yves.
Même au hub de St Exupéry, les avions d'Air France n'ont pas la même cadence!
Ca me rappelle quelque chose ;-)
RépondreSupprimerhttp://imagin-air.over-blog.com/article-3-copains-3-branches-69641333.html
Yoyo