J'effectue tout d'abord la pré-vol sous l’œil attentif et les conseils judicieux de mon instructeur. Vérification du carburant aux réglettes, tour de l'avion traditionnel... tout s'enchaîne normalement. Puis je m'installe aux commandes de la bête. La check en main, et déjà longuement étudiée, j’égrène les différentes actions à réaliser pour la mise en route. Le moteur démarre. Nous avions pris l'ATIS et sommes autorisés à rouler pour le point d'arrêt A1 de la 16.
Notre vol nous conduira sur le Grand Large, non pas en pleine mer (malheureusement!), mais c'est le nom d'un lac du Rhône situé juste au Nord-Est des installations. Mais un grain arrive sur Bron et nous devons patienter, moteur arrêté, plus de 30 minutes, que l'averse passe. Trois arrivées IFR sont autorisées à se poser en contre QFU car le vent est tombé et sûrement parce que ça les arrange, mais du coup, ils doivent faire demi-tour sur la piste pour en sortir par A2 car nous occupons la sortie A1. C'est fou ce que l'on peut faire avec un petit avion contre un gros avion! :-).
Ma vie avec le "PPL-A", mes voyages depuis les aéroports de LYON-BRON (LFLY) et SAN DIEGO (KMYF), mes rencontres aéronautiques merveilleuses ainsi que des informations insolites sur le monde de l'aviation.
mardi 1 novembre 2011
Début de formation sur PA28
Après avoir suivi la formation théorique sur le glass-cockpit Avidyne début octobre, il est temps de monter dans l'avion et de mettre tout ça en route.
C'est donc Gilles qui m'accompagnera pour ce lâcher machine. J'ai déjà suivi un vol en place arrière avec un autre pilote en formation la semaine dernière, et c'est maintenant mon tour de prendre les commandes. Même le JC nous accompagne.
Fini le manche à balai, fini les instruments style "pendules", fini l'avion en bois et toile, j'ai l'impression de monter dans un vrai avion. Bien-sûr, je continuerai à voler sur les "cocottes en papier" comme le dit Gilles, mais l'amphi cabine est vraiment différent.
Cet avion, de 160 hp a été construit en 2005.Nous y effectuons de la mania pour bien sentir la machine. Au menu, quelques virages à faible puis forte inclinaison, le vol lent, quelques tours de piste et tout ce qui va bien pour être lâché. J'adore ça. Tout c'est bien passé, d'après Gilles. Le lâcher ne devrait pas tarder.
Prochaine séance dimanche. On remet ça!
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
C'est vrai que quand on voit le tableau de bord, on se dit qu'on est loin des traditionnelles aiguilles.
RépondreSupprimerCombien d'heures sont nécessaires à l'apprentissage d'un glass-cockpit?
;-)
Le cours théorique du club dure 3h environ, puis 1h d'amphi cabine, puis environ 2h en vol pour la mania avion (3x45')... si tout va bien ! ;)
RépondreSupprimerC'est pas excessif...je m'attendais à plus!
RépondreSupprimerMerci du renseignement!
A+
Ah enfin !
RépondreSupprimer;-)
Je termine mon vol de nuit et j'attaque moi aussi mon lâcher C172/G1000...
Moi je fais l'inverse. ;)
RépondreSupprimerCa ma l'air bien compliqué tout ses boutons. Coment on fait pour voler et regarder tout sa?
RépondreSupprimer