En ce samedi, belle matinée. J'étais content car nous allions faire ma première navigation, par cheminement. Cette navigation, je l'avais préparée avec une carte, (déjà pour la semaine dernière) pour essayer de retrouver, en l'air, les points significatifs précisés sur la carte.
Mon instructeur me dit que ça va être difficile d'aller sur Mâcon, car la météo se dégrade. Normal: j'arrive à l'aéroport et la météo se dégrade: c'est juste une question d'habitude! Ça va être rigolo quand je vais faire de grandes nav, ils ne sont pas prêts de me revoir à l'aéroclub. Vu ma chance, il y aura certainement dégradation de météo pendant le retour, avec pourquoi pas, déroutement. Enfin, on verra!
Donc j'annonce au contrôle mes intentions, avec sortie NW (c'est à dire le barrage de COUZON au MONT D'OR). Il me répond en m'indiquant l'arrivée d'une perturbation dans cette zone. Nous décidons de partir quand même et on verra bien si on peut aller jusqu'à MÂCON.
Nous décollons en 16, ce qui nous oblige un virage à gauche pour la sortie NW, où nous quittons la fréquence.
Arrivés à VILLEFRANCHE SUR SAÔNE, nous avons devant nous un beau mur, bien gris, alors que la couche n'est pas spécialement épaisse (quelques bouts de ciel bleu au dessus de nous, et pas très loin).
Nous faisons demi-tour pour éviter ça, et je commence à repérer au sol quelques repères significatifs indiqués sur ma carte, tout en reprenant la direction de LFLY que nous intégrerons par NA (croisement significatif ligne TGV-A46-N83).
Nous rentrons au parking après 40 minutes de vol, je demande donc à repartir solo pour des tours de piste, car l'avion est réservé pour encore une heure.
Mon instructeur me signe mon carnet de vol et me voilà reparti, après avoir repris l'AFIS et fixé ma nouvelle caméra au tableau de bord.
Une vidéo (ma première) sera donc bientôt en ligne, normalement. Il me faut juste apprendre à couper ce qui n'est pas bon, mettre une peu de musique, enfin faire quelque chose de sympa quand même.
Au visionnage du rush, ca vibre (une peu) et on entend surtout le moteur et peu les messages radio. A suivre donc!
Mon instructeur me dit que ça va être difficile d'aller sur Mâcon, car la météo se dégrade. Normal: j'arrive à l'aéroport et la météo se dégrade: c'est juste une question d'habitude! Ça va être rigolo quand je vais faire de grandes nav, ils ne sont pas prêts de me revoir à l'aéroclub. Vu ma chance, il y aura certainement dégradation de météo pendant le retour, avec pourquoi pas, déroutement. Enfin, on verra!
Donc j'annonce au contrôle mes intentions, avec sortie NW (c'est à dire le barrage de COUZON au MONT D'OR). Il me répond en m'indiquant l'arrivée d'une perturbation dans cette zone. Nous décidons de partir quand même et on verra bien si on peut aller jusqu'à MÂCON.
Nous décollons en 16, ce qui nous oblige un virage à gauche pour la sortie NW, où nous quittons la fréquence.
Arrivés à VILLEFRANCHE SUR SAÔNE, nous avons devant nous un beau mur, bien gris, alors que la couche n'est pas spécialement épaisse (quelques bouts de ciel bleu au dessus de nous, et pas très loin).
Nous faisons demi-tour pour éviter ça, et je commence à repérer au sol quelques repères significatifs indiqués sur ma carte, tout en reprenant la direction de LFLY que nous intégrerons par NA (croisement significatif ligne TGV-A46-N83).
Nous rentrons au parking après 40 minutes de vol, je demande donc à repartir solo pour des tours de piste, car l'avion est réservé pour encore une heure.
Mon instructeur me signe mon carnet de vol et me voilà reparti, après avoir repris l'AFIS et fixé ma nouvelle caméra au tableau de bord.
Une vidéo (ma première) sera donc bientôt en ligne, normalement. Il me faut juste apprendre à couper ce qui n'est pas bon, mettre une peu de musique, enfin faire quelque chose de sympa quand même.
Au visionnage du rush, ca vibre (une peu) et on entend surtout le moteur et peu les messages radio. A suivre donc!
Sacrée Météo... je sais ce que c'est pour avoir annulé je ne sais plus combien de vols maintenant. T'inquiètes, ca va finir par arriver. J'ai appris une chose, c'est qu'en avion, il ne faut pas être pressé. On sait jamais si et quand on va partir. C'est sans doute ca aussi qui fait que lorsqu'on est dedans, on apprecie d'autant plus.
RépondreSupprimerBonne continuation