Bravo messieurs et merci pour votre aide en S.A.R.
Lundi 12 octobre, en fin d’après-midi, le centre de coordination et de sauvetage (CCS) de la base aérienne de Lyon-Mont-Verdun est intervenu pour déclencher et coordonner les moyens aériens mis en oeuvre afin de rechercher un avion de tourisme Cessna 210, qui s’est abîmé en mer après une panne moteur, survenu au large du Golfe de Porto en Corse. Les six passagers ont été récupérés vivants plusieurs heures après la disparition du Cessna 210.
Les moyens aériens ont été immédiatement déployés sur la zone. Ils comprenaient un Atlantique II de la Marine nationale, un Super-Puma de la base aérienne de Solenzara, un hélicoptère EC 145 de la sécurité civile, un EC 145 de la gendarmerie d’Ajaccio et un hélicoptère suisse de type Cougar, en échange avec l'escadron d'hélicoptères de Solenzara. Un bâtiment de la Marine nationale et deux bateaux civils ont également participé aux recherches.
À la tombée de la nuit, les passagers de l’avion de tourisme ont été signalés par l’hélicoptère Dragon 2B de la sécurité civile grâce aux dispositifs de vision nocturne qui ont permis de repérer les lampes des gilets de sauvetage des rescapés. L’appareil a été immédiatement rejoint sur la zone par le Super Puma de l’armée de l’air, l’hélicoptère de la gendarmerie et l’Atlantique II de la Marine nationale. Le Dragon 2B a assuré, entre 20h06 et 20h40, la récupération par hélitreuillage du premier puis du deuxième rescapé. Entre 21h20 et 21h48, le Super Puma de l’escadron d’hélicoptères 6/67 «Solenzara» de l’armée de l’air a hélitreuillé les quatre autres passagers du Cessna 210 accidenté pour les transférer directement vers l’hôpital d’Ajaccio.
Les interventions se sont déroulées dans des conditions météorologiques particulièrement difficiles. Les vents ont soufflé à près de 100 km/h et le creux des vagues ont atteint quatre à cinq mètres.
Ce «sauvetage exceptionnel» a été piloté par un des quatre CCS de l’armée de l’air, celui de Lyon Mont-Verdun. Ce centre assure une veille permanente des fréquences de détresse. Il assiste également les aéronefs civils et militaires (français et étrangers) qui se trouvent en difficulté. Sous les ordres de la haute autorité de défense aérienne, le CCS coordonne les actions de recherche et de secours aux victimes d'accidents aériens. Pour y parvenir, le centre dispose de moyens (personnel et aéronefs) qui sont mis en alerte 24h/24. Les recherches se déroulent en coordination avec les nombreux organismes étatiques.
Les moyens aériens ont été immédiatement déployés sur la zone. Ils comprenaient un Atlantique II de la Marine nationale, un Super-Puma de la base aérienne de Solenzara, un hélicoptère EC 145 de la sécurité civile, un EC 145 de la gendarmerie d’Ajaccio et un hélicoptère suisse de type Cougar, en échange avec l'escadron d'hélicoptères de Solenzara. Un bâtiment de la Marine nationale et deux bateaux civils ont également participé aux recherches.
À la tombée de la nuit, les passagers de l’avion de tourisme ont été signalés par l’hélicoptère Dragon 2B de la sécurité civile grâce aux dispositifs de vision nocturne qui ont permis de repérer les lampes des gilets de sauvetage des rescapés. L’appareil a été immédiatement rejoint sur la zone par le Super Puma de l’armée de l’air, l’hélicoptère de la gendarmerie et l’Atlantique II de la Marine nationale. Le Dragon 2B a assuré, entre 20h06 et 20h40, la récupération par hélitreuillage du premier puis du deuxième rescapé. Entre 21h20 et 21h48, le Super Puma de l’escadron d’hélicoptères 6/67 «Solenzara» de l’armée de l’air a hélitreuillé les quatre autres passagers du Cessna 210 accidenté pour les transférer directement vers l’hôpital d’Ajaccio.
Les interventions se sont déroulées dans des conditions météorologiques particulièrement difficiles. Les vents ont soufflé à près de 100 km/h et le creux des vagues ont atteint quatre à cinq mètres.
Ce «sauvetage exceptionnel» a été piloté par un des quatre CCS de l’armée de l’air, celui de Lyon Mont-Verdun. Ce centre assure une veille permanente des fréquences de détresse. Il assiste également les aéronefs civils et militaires (français et étrangers) qui se trouvent en difficulté. Sous les ordres de la haute autorité de défense aérienne, le CCS coordonne les actions de recherche et de secours aux victimes d'accidents aériens. Pour y parvenir, le centre dispose de moyens (personnel et aéronefs) qui sont mis en alerte 24h/24. Les recherches se déroulent en coordination avec les nombreux organismes étatiques.
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Source: Sirpa Air
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