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mercredi 12 décembre 2012

12.12.12 12:12

Voilà un vol juste pour le fun, sans autre intérêt ni prétention : être en l'air à 12:12 le 12/12/12.

Il semble que la fin du monde soit proche, aux dires de certains, c'était donc juste un petit plaisir perso.


Par contre, l'ITruc n'aime pas trop les températures négatives et a eu un peu de mal à se réchauffer d'où un emplacement qui n'est pas tout à fait celui correspondant à la réalité. Même la vitesse est comateuse...

mercredi 1 août 2012

Un vol suite à pari à la c...

Il s'agissait à l'origine d'un pari à la c...

Un de mes collègues de travail, Rémy, dit "l'inspecteur" ayant monté une section "arts martiaux" dans l'entreprise, plus précisément de "Taï Jitsu", me tannait depuis début septembre pour que je vienne à ses séances d'entraînement. N'étant déjà pas ce que l'on peut appeler "un grand sportif" (en fait c'est le sport que ne m'aime pas), je ne savais plus comment le faire se débarrasser de cette idée saugrenue.

Lors de discussions entre collègues, où je parlais "avion", celui-ci me disait toujours : "monter dans un petit coucou... jamais!". C'est de là que m'est venue l'idée sadique, j'en conviens, de lui proposer le deal suivant : si tu viens faire un tour d'avion, je viendrai sur ton tatami. La réponse a été tout aussi immédiate que claire : JAMAIS!

Le temps a passé quelque peu, puis il est revenu me voir en me disant que ce n'était pas son genre de ne pas relever un défi. Message enregistré. Je suis un traître, car je m'attendais bien à ce qu'il revienne sur ce terrain, et ça m'amusait de le voir revenir. Je sais, c'est bas. Mais on tous nos faiblesses!

Quelque temps plus tard, il revient à nouveau à la charge en me disant "bon, ce serait bien que ce soit toi qui fasse le premier pas" en arguant des arguments aussi fallacieux que rigolos. J'ai laissé passer le reste de la saison et je me suis pointé... à son dernier cours avant les vacances. Rien que le fait de voir, sa tête fut un ravissement! "Merde, tu es venu???? Ah ben, je suis mal!!!".

Il m'annonça qu'il allait donc, lui aussi, s'exécuter, tout en ayant pris au moins trois points de tension artérielle. Très bien, prenons une date avant que l'on oublie... La date fut choisie sur la semaine suivante pour ne pas lui laisser trop de temps à réfléchir. Du coup, deux autres collègues, ont décidé de nous accompagner pour cette escapade qui ne manquerait pas de piquant.

Et c'est comme ça que nous nous sommes retrouvés, en une magnifique soirée de juillet, dans un TB20 pour un vol sur Chambéry-Aix les Bains de jour et un retour de nuit. Ah ben, quant à faire un truc sympa, autant prévoir la totale.

L'équipe de choc!

Tout le monde fût à l'heure au rendez-vous, en dehors de Rémy, qui, soit-disant, se perdit dans un lotissement de Bron, à cause de son GPS. Heureusement que nous avons confiance en lui, sinon, nous aurions eu bien du mal à le croire... Enfin, il arriva et nous sommes allés préparer la machine.

Rémy fait aussi la prévol! Oui, oui, c'est du costaud! Inspecteur Puget...


Rémy le sourire déjà légèrement crispé! avec Xavier et Philippe.

En fait, Rémy est quelqu'un de très expressif. Et pendant que je réalisais la prévol, il continuait à faire le rigolo, tout en prenant, petit à petit, une sourire qui se crispait. Nous étions aux anges. Philippe et Xavier, lui ont bien sûr laissé la place droite pour ce vol aller. Caméra en place pour filmer l'événement, appareils photos chargés à bloc, nous mettons en route pour le départ. Jusque là, tout va bien. Je commence à expliquer le vol, et notamment le passage au-dessus des axes de St-Exupéry. C'est à partir de ce moment que les répliques "cultes" allaient arriver. "Quoi, passer entre les avions qui décollent et ceux qui atterrissent, mais t'es un malade! "...


No comment...

Nous sommes autorisés au décollage, et là, grand silence. Rémy s'est mis en position "mute" hormis un "pfff, oulala!". Décollage en 16, puis virage à gauche... peu apprécié, puis arrivée sur St-Ex où quelques liners sont en arrivée ou en départ. Mes passagers sont impressionnés que l'on puisse passer comme ça au-dessus d'un si gros aéroport.
Au-dessus de St-Ex.

Nous poursuivons notre vol vers Chmabéry, et je propose à Rémy de prendre les commandes. J'ai senti un grand moment de solitude, mais il a accepté. Le machouillage de chewing-gum s'est accéléré. Je lui donne un point à suivre au loin, qui nous conduira à la verticale du lac d'Aiguebelette, nous permettant d'entrer dans la CTR de Chambéry. Il se débrouille très bien. Nous survolons les méandres du Rhône.

Rémy aux commandes...

Arrivée vers SW au-dessus du lac d'Aiguebelette.

Arrivant sur le relief, je lui propose de reprendre les commandes car nous allons nous mettre en configuration atterrissage. Je suis autorisé à une semi-directe 36, et il m'est demandé de rappeler en finale. Je fais mon virage à gauche pour me positionner en finale. "Tu es sûr que tu dois te pencher comme ça???" Oh, oui, sinon, on va se poser à Challes les Eaux!

"Euh, Franck, j'ai été cool sur le tatami"

Pour nous aider, il y a les PAPI. Je demande à Rémy de me donner les couleurs car je ne les vois pas très bien. Il s'inquiète. Puis l'alarme de PA et vitesse faible, sans train sorti, se fait entendre. L'alarme est identifiée. Mais ça ne suffit pas à rassurer mon Copi: "Quoi, alarme identifiée... et tu ne fais rien que de l'identifier???" Ben non, puisque je sais ce que c'est... ;-)

Arrivée sur LFLB

Je fais un kiss des plus doux sur la piste. D'un coup, Rémy reprend des couleurs. Nous dégageons la piste et rejoignons le parking L2 pour stationner. Direction le restaurant situé juste à l'entrée de l'aérodrome, le Dropping zone, dans l'hôtel le Cervolan, où nous avons très bien dîné.

Il commence à se faire tard et nous devons rentrer sur Lyon. Il fait surtout nuit noire, ce qui allait plaire à mes PAX. Nous regagnons notre avion et j'en profite pour les préparer un peu à ce vol hors du commun, où la visibilité sera très réduite par cette nuit sans lune et les risques liés aux montagnes environnantes réellement présents. Nous arrivons sur le terrain et tout est éteint, les bâtiments comme la piste. Et là, les questions les plus audacieuses fusent : "Mais comment va-t-on décoller dans le noir?"

Tout en expliquant qu'il faudra que chacun prenne bien un repère sur le bord de la piste et me signaler très rapidement tout écart, je programme ma radio de secours sur la fréquence d'auto information et déclenche l'illumination de la piste. Ils sont scotchés! C'est vrai que ça a de la gueule, surtout quand on ne s'y attend pas.

Le retour se fait sans encombre avec Xavier comme Copi. Il a déjà fait du "petit coucou" et est très décontracté malgré la nuit noir. J'attends d'avoir passé le relief pour lui laisser les commandes, mais il y a un peu de turbulences vu la chaleur de la journée (plus de 35°C) sur Lyon. Nous repassons au-dessus de St-Ex où l'activité est très calme en ce milieu de nuit. C'est même l'approche qui nous gardera en fréquence pour couper les axes de piste. C'est dire! Toutes les fréquences sont regroupées.

St-Ex de nuit.

Puis je leur demande de m'aider à trouver le terrain de Bron que je n'arrive pas à localiser. Autre phrase culte de l'ami Rémy: "ah, ça, c'est très drôle". Je me positionne en finale. Bron est en auto-information. Après l'atterrissage, nous allons à la pompe refaire le plein de notre engin avant de l'accrocher au parking pour une belle nuit.

Deux bien beaux vols, pour lesquels je me sent obligé de mettre chapeau bas à Rémy pour être venu quand même et prendre vraiment sur lui le fait de monter dans un "petit coucou".
Quant aux deux autres passagers, blasés sans doute, ils s'affairaient à prendre des photos et se pencher pour voir si nous ne perdions pas Rémy.

Un grand moment de rigolade pour certains, de tension pour d'autres, mais un grand moment de camaraderie. Merci Messieurs et bravo Rémy.

dimanche 11 décembre 2011

Journée extraordinaire... Atterrissage sur LFLL

Quelle belle journée, ce dimanche 11 décembre.

Tout commence par une partie de l'après-midi passée à la tour de Bron (LFLY) à suivre l'activité sur le terrain où officient les contrôleurs. Je suis accueilli par Jean-Luc et Fabrice.

Le trafic est important mais moins intense qu'hier. En ce jour, il est comptabilisé environ 70 mouvements pour 300 hier au soir. Vu ce qu'il reste à faire, ce sera probablement une journée à 100 mouvements.

Je suis super bien accueilli par les deux contrôleurs, dont un que je ne connaissais pas du tout. Je confirme mes précédents posts, ils sont vraiment sympas nos contrôleurs.

Arrive la fin de journée et je dois partir en vol de nuit avec mon instructeur. Je fais le point avec les contrôleurs de Bron qui m'indiquent que la météo se dégrade et qu'en plus ils attendent pas mal d'IFR dans la soirée. Ce sera donc difficile de faire des touch and go sur le terrain, la priorité étant donnée aux IFR. De plus, la météo ne semble ne pas correspondre au vol de nuit.

On verra donc avec Gilles ce que nous ferons.

Je quitte le "pigeonnier" pour rejoindre le club et y arrive en même temps que Gilles. Je lui expose le plan vu avec les contrôleurs de Bron. Ça va être tendu de faire ce vol de nuit. Mais Gilles a toujours un plan B. Il passe un coup de fil et me dit, bon on y va, mais il ne faut pas trainer. Nous allons faire un touch à St Exupéry, avant l'ouverture du hub Air France.

Nom de Zeus!, je vais aller me poser à St Exupéry (LFLL), aéroport international de Lyon. Je n'en crois pas mes oreilles. Je me dépêche de prendre mes affaires et nous nous rendons à l'avion. Prévol dans le hangar et sortie de l'avion pour une mise en route immédiate.

Direction le point d'attente A1, essais moteur en cours de roulage par Gilles, alignement et décollage autorisé dans la foulée, puis cap sur Lyon-St Exupéry. Le contact établi avec la tour nous autorise un touch sur la 18 gauche, la 18 droite étant prévue pour les départs.

Le hub n'est toujours pas actif mais il commence à y avoir des départs. Trois sont prévus aux alentours de notre arrivée. Ici, pas question de faire une intégration en vent arrière. Nous sommes autorisés à nous reporter en finale 18L. Le "lièvre", sorte de chenillard, nous indique la bonne piste. Je m'établis en finale et suis autorisé au touché alors qu'un avion est en même temps autorisé au décollage... Un gros avion!

Je touche et décolle dans la foulée. Mon instructeur demande un virage à gauche, pour éviter les turbulences de sillage de l'avion qui a décollé, avant de recroiser les axes et repartir sur Bron. La contrôleuse nous indique les départs et nous demande de maintenir à l'Est des pistes avant de nous autoriser à les croiser en seuil 18.

Je mets le cap au 270 pour croiser les axes. Je vois les appareils au départ. Ils sont ridicules ces petits zings!

Nous rentrons sur Bron et pour un peu d'entrainement, nous faisons un touch avant un complet. J'en ai plein les yeux. Je me suis posé en DR400 à Lyon-St Exupéry! C'est génial!

On arrête le moteur après 29 minutes vol. Un vol court, mais un vol magique, unique, extraordinaire. Que de souvenirs. merci Gilles.

LFLL restera dans les anales comme étant le 43ème aéroport où j'aurai posé mes roues. Je n'en reviens toujours pas.

vendredi 25 novembre 2011

Maintenance des avions en Chine...

Insolite. Un A340 d’Air France volait avec une trentaine de vis manquante...

Un Airbus A340 de la compagnie Air France, qui venait d’être entièrement révisé en Chine, a dû être immobilisé mi-novembre à Boston après qu’un mécanicien a constaté l’absence d’une trentaine de vis sur un panneau de carénage.

«Les A340 font également leur grande visite (révision complète, ndlr) en Chine à Xiamen et le résultat est toujours à la hauteur des ambitions de notre entreprise!», ironise le personnel navigant technique (PNT) dans un bulletin du syndicat Alter.

«Dernièrement, le F-GLZR est rentré de Chine et a volé pendant quelques jours avant d’être arrêté: il lui manquait un tiers des vis sur un panneau de carénage», ajoute le texte. Un porte-parole de la compagnie, qui a confirmé l’incident, a indiqué qu’une enquête interne était en cours. Mais il a assuré qu’«à aucun moment, la sécurité des vols» n’avait été mise en jeu et souligné que l’avion n’avait été immobilisé «que quelques heures».

«La partie de l’avion concernée est le karman de l’aile droite, un cache d’habillage situé entre l’aile et le fuselage fixé par une cinquantaine de vis recouvertes d’un joint mastiqué», a-t-il précisé, relevant que «le karman a une fonction d’habillage et ne concerne pas une zone pressurisée».

De source syndicale, on déplore la défaillance en matière de maintenance et on rappelle que l’an passé, un Boeing 747-400 avait lui aussi été immobilisé après une grande visite en Chine: certaines parois de l’avion avaient été repeintes avec de la peinture potentiellement inflammable. L’avion avait volé pendant trois semaines.

Cette fois, l’A340 était parti de Chine le 10 novembre. Il avait atterri à l’aéroport de Roissy pour une visite de trois jours. Et l’absence des vis n’a été constatée que le 15 novembre, le panneau ayant commencé à se détacher en vol.

Selon le porte-parole de la compagnie, la présence de joint sur les vis a pu gêner l’inspection.
«Le fournisseur d’Air France qui a procédé à la grande visite est internationalement reconnu et travaille depuis plus de quatre ans pour Air France. Cet incident est le premier de cet ordre», a-t-il déclaré.

Source: Le Progrès de Lyon du 25/11/2011

mardi 8 novembre 2011

Sortie de piste impressionnante...

Cela s'est passé à Munich le 3 novembre 2011.

Sortie de piste heureusement sans gravité pour un 777-300ER de Singapore Airlines à Munich. L'incident s'est produit à 12h20, à l'atterrissage en provenance de Manchester. Pas de blessé parmi les 143 passagers et 13 membres d'équipages.

La visi n'était pas terrible, mais rien d'exceptionnel:
EDDM 031120Z 07010KT 2200 BR OVC003 05/05 Q1010 BECMG 3000 OVC005

La piste 26L/8R devait restée fermée jusqu'à 22h pour permettre le travail des enquêteurs, il y beaucoup de vols annulés pour cette raison.

Les passagers ont été débarqués par les escaliers mobiles et aucun blessé n’est à déplorer. D’après certains passagers, l’avion aurait touché assez rudement, puis aurait viré et quitté la piste vers la gauche, pour ensuite traverser la piste et la quitter à droite jusqu’à l’arrêt. L’avion semble n’avoir subi aucun dégât visiblement, mais la rotation prévue pour Singapour a du être annulée, les passagers devant s’y rendre ont été répartis sur d’autres vols.

C'est joli comme trace !

vendredi 17 juin 2011

Atterrissage sur l'autoroute!

Article paru dans "Le Progrès" de Lyon.

Photo Le Progrès


Châtillon-en-Michaille. C’était un peu la panique hier matin, sur l’A40, dans le sens Mâcon-Genève. Un petit avion de tourisme a dû se poser sur la chaussée en urgence.

L’instructeur et son élève, tous les deux adhérents de l’aéro-club de Bellegarde-sur-Valserine, ont réalisé un bel exercice, hier matin, dans le ciel de l’Ain.

Leur petit avion de tourisme, un Cessna 152, a exécuté un numéro de haute volée, en se posant en urgence sur l’autoroute A40, dans le sens ouest-est.

Le scénario s’est joué à hauteur de la commune de Châtillon-en-Michaille, dans le sens Mâcon-Genève. On est en fin de matinée.

L’instructeur, la cinquantaine, très expérimenté et par ailleurs pilote de chasse, vient d’accompagner son élève, un trentenaire, pour sa leçon de vol.

Les deux pilotes ont presque fini leur tour en l’air, et le trafic est « fluide » à terre, quand tout à coup le moteur de l’avion se grippe. Ils ont volé sans encombre jusqu’à Villefranche-sur-Saône, et là, juste aux abords de l’aérodrome de Bellegarde, ils sont victimes d’une avarie mécanique.

L’instructeur montre un sang-froid exemplaire durant la manœuvre. De quoi tirer quelques leçons pour son passager.

Il déclenche une mesure d’urgence et décide donc de poser son appareil, sur la voie rapide, dans le sens de circulation.

Il laisse ensuite rouler son avion sur quelques centaines de mètres sur la chaussée.

Les automobilistes, eux, ont affiché, à leur manière, un certain flegme face à cet appareil de 11 mètres de large. Puisque la circulation n’a pas tellement souffert de l’incident. Cet atterrissage forcé n’a pas provoqué d’accident sur la route. Aucun blessé n’est à déplorer.

Le Cessna 152 est resté immobilisé sur la bande d’arrêt d’urgence durant plusieurs heures, après la sortie Saint-Germain-de-Joux. Et la circulation a dû être réduite à la voie de gauche.

L’avion a ensuite été remorqué jusqu’à une aire de service, où il a été démonté avant de finir sa course en pièces détachées, à l’aérodrome de Bellegarde.

Les gendarmes du peloton d’autoroute d’Eloise, qui ont géré ce trafic atypique, ont ensuite reçu l’aide de la brigade de gendarmerie de transport de Lyon Saint-Exupéry, pour auditionner les deux réchappés et tenter de comprendre ce qu’il s’était passé.

dimanche 3 avril 2011

2ème moment de la journée: le pot du PPL

Après notre retour d'Albertville, j'avais invité quelques membres de l'aéroclub autour d'un pot pour fêter mon PPL.

En dehors du fait que j'ai trouvé ce moment très sympathique, mais c'est aux invités d'en juger, un certain nombre de "potes", dont un de mes instructeurs, m'avaient préparé une surprise. Et une surprise de taille...

Commençant à faire le service, pour montrer une fois pour toutes comment l'on fait!, les voici arrivés tous les quatre avec un paquet cadeau. Pourtant sur le NOTAM, il était bien indiqué que chacun ne devait venir qu'avec sa bonne humeur!

Le faux NOTAM

Pour le NOTAM, je reconnais ici avoir fait un faux en écriture. J'espère que l'administration ne m'en tiendra pas trop rigueur...

Revenons à la surprise. J'ouvre un paquet bleu, mou... et j'y trouve à l'intérieur une chemise blanche de pilote surmontée de magnifiques galons or avec boucle Nelson... Quatre galons! Ooh... surprise! C'est impressionnant! Avec mon passé, j'ai un grand respect des uniformes et de ceux qui les portent, et là, je ne pense vraiment pas mériter de porter cette magnifique tenue.

Prétextant tout et n'importe quoi pour ne pas l'enfiler, bien évidemment que chaque personne présente dans la salle est devenue de plus en plus pressante pour me voir l'arborer. Je me résigne donc vue l'insistance de mon public!

Pardon, mesdames et messieurs les "vrais" pilotes, pardon également à vous les "copi" qui n'en arborez que trois mais qui méritez tellement plus que moi de les porter... Pardon!

Et en plus, il y avait un photographe dans cette foule sur-excitée!. Et dans ce genre de choses, les photos arrivant toujours à ressortir un jour ou l'autre, autant en publier une tout de suite, une dont je suis fier, car entouré des deux personnes que j'ai le plus fait souffrir... Mes Instructeurs! Encore merci, Messieurs.


mardi 15 février 2011

Le saucisson lyonnais interdit de vol à Saint Exupéry

Source: Le Progrès de Lyon

Elle voulait ramener un souvenir de Lyon à une amie. La sécurité a dit non au saucisson:


Episode cocasse, dimanche, à l’aéroport de Lyon- Saint Exupéry. En voulant faire plaisir à une amie qui se languissait de charcuterie lyonnaise, une passagère du vol Lyon-Nice s’est vue refuser le transport d’un saucisson dans son bagage à main. L’objet litigieux ne sentait pas l’ail, était une pure production du terroir lyonnais mais il n’a pu franchir les barrages de sécurité. Sylvie est cette Niçoise originaire de la cité des Gaules qui avait passé commande : « J’avais demandé à mon amie allemande de passage à Lyon, de me rapporter un saucisson à cuire d’un charcutier réputé. Je lui avais indiqué les bonnes adresses. » Bien naïve, elle n’imaginait pas les tracas causés au moment de passer les contrôles. Rangée soigneusement dans une valise, avec une innocente tranche de pâté, la spécialité lyonnaise n’a pas échappé à l’œil avisé du service de sécurité. « Il a été repéré au moment du passage de mon bagage sur le tapis, indique la passagère. On m’a dit que c’était interdit et que j’avais le choix entre deux solutions : le passer en soute dans la valise et payer un surplus de 45 euros ou le jeter. » Voilà comment un saucisson a été refoulé du vol Easy Jet EZY 4345 de 16 h 20. Et destin cruel : outre d’être privé de consommation niçoise, il a échoué dans une poubelle aéroportuaire avec les coupe-ongles, ciseaux et autres rebus de voyage. On espère que le charcutier ignorera l’outrage fait au saucisson sorti de son chaudron.

On imagine la colère et le dépit de la passagère allemande pourtant habituée des aéroports. « Je n’ai jamais vu d’affiche interdisant le transport de spécialités locales ! ». La réglementation en la matière n’est pas d’une grande souplesse. On ne rentre pas dans la cabine d’un avion avec une cannette, une bouteille d’eau ou des biscuits, sauf s’ils ont été achetés après le contrôle sécurité, dans les boutiques hors taxe. Seuls sont autorisés les liquides contenus dans des récipients de 100 ml maximum. Quant aux denrées solides, il existe des exceptions comme les aliments nutritionnels pour bébés et certaines substances médicales. Il est également interdit de transporter des objets contondants capables d’occasionner des blessures, tels que matraques et gourdins rigides ou souples. Le saucisson a-t-il été assimilé à un gourdin ? « Ils auraient pu le scanner, s’amuse notre lectrice. C’est quand même difficile de cacher une arme dedans ! » Contacté, le service de sécurité de l’aéroport devrait s’exprimer sur la question dans notre journal de demain. Il en va de la sauvegarde de la gastronomie lyonnaise...

samedi 29 janvier 2011

Attention danger!... ou surprise!

Pour tous ceux qui ont l'habitude de draguer quelque peu les hôtesses de l'air, cette nouvelle doit vous y faire réfléchir à deux fois!

Article paru dans crash-aérien.com:

Bangkok (Thaïlande) - C'est maintenant officiel, la Thaïlande va être le premier pays où une compagnie aérienne, la PC Air, va embaucher des transsexuels comme hôtesses de l'air à bord de ses avions afin de mettre un terme à la discrimination subit par une grande partie de ces thaïlandais qui ont choisi le 'troisième sexe' comme façon de vivre.

La première d'entre elle, et la seule pour l'instant, Thanyarat Jiraphatpakorn, est une ancienne reine de beauté 'trans', qui va bientôt rejoindre le rang des hôtesses de l'air de PC Air en attendant que ses petites camarades thaïlandaises viennent la rejoindre. La Thaïlande est le pays qui comporte le pourcentage le plus important de transsexuels et des chirurgiens qui ont été les pionniers dans le domaine du changement de sexe et des opérations qui permettaient à tout un chacun, en quelques heures, de devenir tout un chacune.

La compagnie aérienne n'oblige pas toutefois à être passé sous le scalpel pour postuler, seuls les critères appliqués aux stewards et hôtesses seront appliqués à tous ceux et celles qui se présenteront pour faire ce métier. Beaucoup vont certainement se présenter aux entretiens d'embauche, les autres compagnies aériennes thaïlandaises refusant de compter dans leurs rangs des transsexuels. Seuls détails gênant et discriminant, les hôtesses du troisième sexe devront porter un badge les différenciant, ceci pour que lors des escales dans d'autres pays plus à cheval sur les notions de genre chez les humains, elles puissent ne pas être confondues avec des femmes.

vendredi 14 janvier 2011

L'idiot de la semaine est co-pilote dans les Emirats

Pris dans Crash-aéro.com.

Amman (Jordanie) - Un avion de la compagnie aérienne low-cost émiratie Flydubai a été la cible d'une fausse alerte à la bombe sur l'aéroport international de Amman (Jordanie) alors que l'appareil s'apprêtait à décoller et qu'un passager s'est alors levé en hurlant qu'il avait une bombe sur lui.

L'avion, un Boeing 737-800, immatriculé A6-FDM, vol FZ144, qui devait effectuer la liaison entre l'aéroport international Queen Alia de Amman et l'aéroport international de Dubaï (Émirats Arabes Unis) était au roulage, vers 21h00, heure locale, et était prêt à décoller, lorsqu'un des passagers qui réclamait depuis le début du roulage de voir le commandant de bord, s'est alors levé et a hurlé qu'il avait une bombe sur lui et qu'il s'apprêtait à faire sauter l'avion. Prévenus, les pilotes ont alors fait demi-tour et prévenu la police.

L'homme a été arrêté dès le retour aux parkings et placé en détention. Il a indiqué qu'il avait fait une plaisanterie, qu'il était lui-même co-pilote sur une compagnie aérienne des Émirats. La police n'a que moyennement gouté la plaisanterie et a toutefois fait débarquer passagers et bagages avant de fouiller l'avion. L'homme, dont ni l'identité ni la compagnie aérienne pour laquelle il travaille n'ont été révélées va passer prochainement en jugement.

jeudi 13 janvier 2011

Un passager se masturbe sur un avion de Delta Airlines

Pris dans crash-aéro.com.

Lewiston (Idaho/USA) - Un avion de la compagnie aérienne régionale américaine SkyWest Airlines, qui effectuait un vol pour le compte de la compagnie aérienne américaine Delta Airlines (Delta Connection) a été le cadre d'un événement inhabituel lorsqu'un des passagers à bord a été surpris alors qu'il se masturbait à côté de sa voisine de siège.

L'avion, un Canadair Regional Jet CRJ200, vol OO4456, qui effectuait la liaison entre l'aéroport international de Salt Lake City (Utah) et l'aéroport régional de Lewiston (Idaho) avec un nombre de passagers qui n'a pas été indiqué, était en vol lorsqu'une jeune fille de 17 ans, s'est plaint, auprès des membres d'équipage, qu'un homme, assis à côté d'elle, était en train de se masturber sans se cacher le moindre du monde.

La passagère a été déplacée et éloignée du pervers pendant que les pilotes demandaient aux services de police de venir attendre le passager à l'arrivée de l'avion. L'homme, d'une cinquantaine d'années, a été aussitôt arrêté et placé en détention sous l'inculpation d'attentat à la pudeur. Il a tenté d'expliquer son geste en prétendant avoir renversé de la sauce piquante, du Tabasco, sur son entrejambe et avoir eu l'extrême besoin de frotter violemment pour dissiper la brûlure et les démangeaisons. Très bientôt, un juge rendra son avis sur cette excuse qui dans la liste des excuses f...euses doit occuper une honnête place sur le podium.

mardi 11 janvier 2011

Aéroport de Barra (Ecosse)


L'aéroport de Barra (code AITA : BRRcode OACI : EGPR) est un aéroport situé dans la baie peu profonde de Traigh Mhor, au nord de l'île de Barra dans les Hébrides extérieures, en Écosse. Il s'agit du seul aéroport du monde où des services réguliers atterrissent sur une plage. Il est géré par Highlands and Islands Airports Limited qui possède la plupart des aéroports régionaux d'Écosse.
Trois pistes sont établies sur la plage, délimitées par des poteaux de bois aux extrémités. Elle permettent aux DHC-6 qui desservent l'aéroport d'atterrir presque toujours face au vent. À marée haute, ces pistes sont recouvertes par la mer : les horaires des vols dépendent donc de la marée. Pour les vols nocturnes d'urgence, des véhicules éclairent la ligne centrale de la piste et des bandes réfléchissantes sont placées sur la plage.
La plage est également appréciée des touristes et des ramasseurs de coques, à qui il est demandé d'observer la manche à air pour vérifier si l'aéroport est en fonctionnement.

vendredi 3 décembre 2010

Menaces sur l'aérodrome de Montluçon-Guéret

(Pétition reprise d'infoPilote Mag)

Au cœur du Limousin, l’aérodrome de Montluçon-Guéret vit-il ses dernières heures ? Ce qui devait être le poumon logistique du bassin entre Guéret de Montluçon est devenu l’enjeu de bagarres intestines de quelques uns au détriment des contribuables.

Des investissements colossaux:
Une piste en enrobé de 1900 m, une piste gazonnée de1300 m, des hangars, une tour de contrôle, des équipements contre les incendies… et des installation d’avitaillement à la fois pour de l’essence aéronautique et pour du kérosène…L’investissement est de taille. Impossible à rentabiliser sans développement national ou international.
Mais en attendant, nous, associations sportives et culturelles, avons pris le développement de la plateforme en mains : organisation du FLYIN (rassemblement d’avions) et du meeting aérien (organisation sans but lucratif) dont la portée est devenue internationale, le club des planeurs, plateforme régionale pour le Limousin, qui organise régulièrement de championnats de France ; l’association de voltige aérienne qui entraine des champions du Monde, ou d’Europe ; et les aéronefs anciens, un patrimoine culturel devenu au fil des ans exceptionnel…
Peu à peu, la plateforme a su développer une notoriété d’excellence tant d’un point de vue sportif que culturel et touristique.
Et ce n’est pas fini : nos associations maintenant reconnues nationalement ont des projets de développement : un musée vivant de l’aéronautique, une école de restauration aéronautique, une école régionale de planeur, et toujours des rassemblements, meetings et manifestations aériennes qui sont une attraction touristique sans précédent.
Et puis il y a SAGEM, installée à Montluçon pour ses drones et qui a là, le terrain idéal pour ses vol de réception. Une activité rentable.

Aujourd’hui, tout ceci est lourdement menacé par des projets photovoltaïques sans aucune stratégie pour la région ou le département.
« Quand on n’aime pas les avions, on leur coupe les ailes » !! Et c’est bien ça qui se passe, en coupant brutalement le carburant. Alors que la plateforme était une oasis pour des aéronefs de passage, plus de carburant. Plus d’avion. Plus de visiteur. Plus d’activité.
Plus de touriste, plus d’élève, plus de champion.
Fini les meetings, les baptêmes de l’air, les championnats, les rencontres nationales. Fini.

Les usagers et les spectateurs prêts à se battre pour défendre les cieux creusois.

Une urgence : rétablir la distribution de l’essence.
La vie des clubs est directement et immédiatement menacée. Car il est difficile ou impossible pour eux d’aller avitailler à Clermont, Limoges ou Châteauroux. Trop loin, trop cher, et des distances couteuses en… carburant ! Alors, les clubs ne pourront plus voler.
Il n’y aura donc plus d’activité aéronautique quelle qu’elle soit ni sur Montluçon, ni sur la Creuse.

Il est urgent et impératif de rétablir une distribution de carburant aéronautique (100 LL).
Ainsi, nous demandons au syndicat mixte une réponse à nos courriers et échanges : rendez-nous l’essence ! Laissez nous notre ciel !

Contact GUAM – Groupement des usagers de l’aérodrome Montluçon-Guéret
Association loi 1901 – Aérodrome – 23170 LEPAUD
Béatrice de REYNAL : 0680 38 74 07


Signer la pétition

lundi 22 novembre 2010

Risque aviaire... fort... TRES FORT!!!

Si cette photo est couverte par un copyright, merci de me le signaler pour un retrait immédiat.

jeudi 4 novembre 2010

French travel Eco Fly

Ci-dessous un lien avec d'un récit époustouflant d'un pilote qui a effectué un vol sans escale entre Ouessant (Bretagne) et Propriano (Corse), soit plus de 7heures de vol, seul à bord, avec un avion super économique.

Le 4 juin 2010, le Gaz'aile 007 "Fou de Bassan" et son pilote, ont effectué les 1409 km du parcours entre Ouessant et Propriano en un seul vol de 7h28 à une moyenne de 188 km/h, avec une consommation de seulement 51L de carburant (6,8 L/h, ou 3,6 L/100km), soit environ 58€ de coût pour du gazole. Cela avec un appareil qui n'a couté pour sa construction que 13 000 €.

Vous trouverez par ce lien de nombreuses photos magnifiques, ainsi que le récit de ce vol extraordinaire:

Pour accéder au récit, cliquer sur la carte:

Chapeau bas!
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vendredi 1 octobre 2010

Pas assez de places assises sur l'avion de Tatarstan Airline

Info prise sur crash-aerien.com, le 01 Oct 2010 à 8:29.

Ekaterinburg (Russie) - Un avion de la compagnie aérienne Tatarstan Airlines a été le cadre d'un événement peu habituel au départ de l'aéroport international de Antalya (Turquie) lorsque suite à un changement d'appareil et à une diminution du nombre de places assises, six passagers ont voyagé debout jusqu'à destination.

L'avion, un Boeing 737-300, vol U9-97X, qui devait effectuer la liaison entre l'aéroport international de Antalya (Turquie) et l'aéroport international de Ekaterinburg (Russie) avec très exactement 148 passagers à bord, a été remplacé au dernier moment par un Boeing 737-400 qui lui, n'était prévu pour accueillir que 142 passagers et pas un de plus. Après tergiversations et récriminations, après que les six passagers se sont vu proposés de prendre des enfants sur leurs genoux, il a finalement été décidé que s'ils voulaient embarquer, ils devraient voyager debout.

L'avion est finalement parti en fin d'après-midi avec ses six passagers voyageant debout. Ils n'ont disposé bien évidemment d'aucune ceinture de sécurité en cas d'incident et encore moins de masque à oxygène en cas de dépressurisation. Les six passagers ont porté plainte à l'arrivée et demandent chacun 3.000$ de compensation. La compagnie aérienne a indiqué qu'elle leur avait proposé de partir le lendemain et que c'était eux qui avaient pris la décision de partir debout. Une enquête a été ouverte à propos de cet incident.

C'est la première fois que je la vois celle-là!!!
Que risque la compagnie? Que risque le CdB?

mercredi 11 août 2010

Real flight announcements...

Occasionally, airline attendants make an effort to make the “in-flight safety lecture” and their other announcements a bit more entertaining. Here are some real examples that have been heard or reported:

• “There may be 50 ways to leave your lover, but there are only 4 ways out of this airplane…”
• From a Southwest Airlines employee:
“Welcome aboard Southwest Flight XXX to YYY. To operate your seatbelt, insert the metal tab into the buckle, and pull tight. It works just like every other seatbelt, and if you don’t know how to operate one, you probably shouldn’t be out in public unsupervised. In the event of a sudden loss of cabin pressure, oxygen masks will descend from the ceiling. Stop screaming, grab the mask, and pull it over your face. If you have a small child traveling with you, secure your mask before assisting with theirs. If you are traveling with two small children, decide now which one you love more.
• “Weather at our destination is 50 degrees with some broken clouds, but they’ll try to have them fixed before we arrive. Thank you, and remember, nobody loves you, or your money, more than Southwest Airlines.”
• “As you exit the plane, please make sure to gather all of your belongings. Anything left behind will be distributed evenly among the flight attendants. Please do not leave children or spouses.”
• “Last one off the plane must clean it.”
• Another flight Attendant’s comment on a less than perfect landing: “We ask you to please remain seated as Captain Kangaroo bounces us to the terminal.”
• Part of a Flight Attendant’s arrival announcement: “We’d like to thank you folks for flying with us today. And, the next time you get the insane urge to go blasting through the skies in a pressurized metal tube, we hope you’ll think of us here at US Airways.”


Pilots:

• “Folks, we have reached our cruising altitude now, so I am going to switch the seat belt sign off. Feel free to move about as you wish, but please stay inside the plane till we land … it’s a bit cold outside, and if you walk on the wings it affects the flight pattern.”
• And, after landing: “Thank you for flying Delta Business Express. We hope you enjoyed giving us the business as much as we enjoyed taking you for a ride.”
• As the plane landed and was coming to a stop at Washington National, a lone voice comes over the loudspeaker: “Whoa, big fella. WHOA!”
• And from the pilot during his welcome message: “We are pleased to have some of the best flight attendants in the industry …Unfortunately none of them are on this flight…!
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Oups!!!

Je crois que j'ai fait une connerie, Commandant!...

mardi 10 août 2010

Enervé, le steward de JetBlue active le toboggan et s'en va...

Le 09 Aug 2010 à 22:53

New York (New York/USA) - Un avion de la compagnie aérienne intérieure américaine JetBlue Airways a été le cadre d'un événement qui doit être une première lorsqu'un des stewards, énervé par un passager qui lui avait cogné la tête avec son bagage cabine et refusait de s'excuser, a insulté l'ensemble des passagers par le système de communication interne avant d'activer un toboggan et de quitter l'appareil.




L'avion, un Embraer Regional Jet ER190, vol B6-1052, qui venait d'effectuer la liaison entre l'aéroport international de Pittsburgh (Pennsylvanie) et l'aéroport international John Fitzgerald Kennedy de New York avec un nombre de passagers qui n'a pas été indiqué, était arrivé au parking lorsqu'un passager, qui sortait son bagage cabine d'un compartiment à bagages, a heurté la tête d'un des stewards, Steven Slater, 38 ans. Alors que ce dernier demandait au passager de s'excuser, l'homme lui aurait répondu d'aller se "faire f.." après plusieurs échanges verbaux plutôt vifs. Énervé, le steward a alors pris le combiné du système de communication cabine et s'est mis à insulter les passagers présents en leur disant également d'aller se "faire f..".

Il aurait ensuite percuté le toboggan de la porte de l'appareil avant de prendre deux bières et de se laisser glisser jusqu'au sol et de disparaitre dans un des bâtiments de l'aéroport. La police l'a retrouvé chez lui et l'a ramené à l'aéroport afin que les autorités aéroportuaires puissent l'interroger. Il a été inculpé de comportement inapproprié et sera présenté prochainement devant un juge. La compagnie aérienne a refusé de s'exprimer sur cet événement.

Dans mon DR400, pas de risque... Il n'y a pas de steward!!!